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A propos de... :

Énigmes et secrets du Causse

Une manière insolite d'envisager autrement les promenades du dimanche.

(Midi Libre)

Nietzsche - Qui Suis-Je ?

Cette introduction à une oeuvre dont l'influence, déjà grande, est sans doute d'avantage encore à venir, est très réussie. L'exercice était pourtant fort risqué mais Bruno Favrit a su éloigner tant les préjugés que les certitudes et ne pas tomber dans le piège des vérités.

(La Lettre du Crocodile)

C'est un intéressant portrait que nous propose Bruno Favrit dans ce Qui suis-je consacré à l'une des figures les plus surprenantes de la philosophie et de la pensée. Bruno Favrit rappelle d'emblée que si Nietzsche est un éveilleur, il n'en est pas pour autant un maître et que sa pensée doit être étudiée pour être dépassée.

(Baglis.tv)

Bruno Favrit propose un portrait succinct et général du philosophe ; son ouvrage se distingue surtout par l'originalité de ses subdivisions. Après un court rappel biographique, l'auteur propose un survol des principales oeuvres (de La Naissance de la tragédie à La volonté de puissance) regroupées selon trois thèmes : « Nietzsche linactuel », « Nouvelles valeurs, nouvelle morale », «L'affirmation dionysiaque ». La dernière moitié porte spécifiquement sur la réception critique des écrits nietzschéens, particulièrement en France mais aussi en Allemagne. Les avis d'écrivains français réunis ici se limitent toutefois à des citations de quelques lignes et non à un texte continu situant des opinions aussi diverses que celles de Jules Renard, Philippe Sollers, Jean Cocteau, André Gide. On appréciera en outre une série de photographies rares de Nietzsche, dont plusieurs datent de la période (1889-1900) où celui-ci avait sombré dans la folie.

(Yves Laberge - Revue Laval théologique et philosophique - Université de Laval)

Le Voyage du Graal

Bruno Favrit vient de nous offrir le livre de bord de sa quête intrépide. Aux temps noirs que nous vivons, rien de plus urgent sans doute que de nous ressourcer de soleil et d'eau claire, de nous enfoncer sans crainte dans les forêts profondes, de parcourir les landes désertées au parfum de bruyère, et si nous sommes épris d'escalade, de sentir le roc frémir sous nos doigts à la recherche dune prise. Quelle joie plus grande que de s'élever vers le soleil, de fendre la brume, et de s'ancrer enfin au bord d'une corniche pour jouir en altitude d'un horizon neuf ? Accompagnons Bruno Favrit. Il possède encore sans doute le secret perdu des chemins d'errance et de découverte, le sens des parcours enchantés. Notre voyageur n'a rien d'un pèlerin encroûté de poussière et de patenôtres ni d'un joyeux routard en vacances. Bruno Favrit est un écrivain qui marche, chose assez rare pour être signalée, doublé d'un éveilleur. Sa quête du Graal est sans doute le signe de notre appartenance à un univers qui nous échappe, qui tourbillonne sous nos yeux aveuglés et qui nous fait peur.

(Gaëlle Mann - Revue Montségur)

Bruno Favrit aime l'errance qui illumine. Il débusque dans les paysages traversés des parcelles de vérité, toute une géographie sacrée. Rocs gravés, pierres levées, ruines de châteaux toujours vibrantes du fracas des batailles, monastères ou basiliques chargés de symboles, l'auteur ne se contente pas de décrire les paysages traversés (encore qu'il ait le don d'observation et que ses évocations ne soient pas exemptes de pittoresque). Son propos s'enrichit de mille digressions, de références, de rapprochements ingénieux.

(Pierre-Luc Moudenc - Rivarol)

Nouvelles des dieux et des montagnes

Toujours plus haut. Et plus loin, en ayant sous la main ce superbe bouquin imprégné de l'âme du Vieux Continent.

(Blog Euro-synergies)

L'écriture de Bruno Favrit coule comme un long fleuve pas très tranquille, avec des effluves de mystère, sensuels et lourds comme une poitrine bien faite. L'auteur connaît fort bien les hautes cimes et on le sent à travers ces récits telluriques où la montagne et les dieux rôdent comme un fatum implacable. A déguster sans modération.

(Pierre Gillieth - Réfléchir et Agir)

Criminel de guerre

Favrit use d'une prose anguleuse comme une paroi dont l'âpreté souligne son indocilité (...). A lire ce récit abrupt, comment ne pas songer au fragment XVIII d'Héraclite : ''Qui n'espère pas n'atteindra pas l'inespéré, qui est au-delà de toute recherche et à l'écart de toutes les routes.''

(Christopher Gérard - Éléments)

A la recherche des dieux

Adepte de la ''grande santé'' païenne, l'auteur en donne une représentation avant tout éthique et esthétique, qui doit visiblement une large part de son inspiration à son propre itinéraire.

(Alain de Benoist - Éléments)

Ce livre quelquefois ardu mais passionnant constitue un véritable bréviaire néo-païen.

(Revue Solaria)

Il y a des livres qu'on lit d'une manière linéaire ; on les oublie le lendemain. Il y a des livres qu'on ouvre au hasard ; une phrase vous éblouit ; le lendemain, vous ouvrez une autre page, et la magie recommence ; un vrai livre, c'est un livre qu'on ouvre tous les jours, ou toutes les nuits, à n'importe quelle page, et qui ne vous lasse jamais. Ce qui s'appelle un livre de chevet qui nous renforce dans notre désir, rien que pour la beauté. Voilà le livre de Bruno Favrit. Il est tout en spirales qui s'enroulent et se dévident, se répondent en concordance. Il est indispensable.

(Hyperborée Magazine)

Vitalisme et vitalité

De belles pages sur la fête, la noblesse et la beauté alternent avec des considérations plus élaborées sur la ''chaîne de la tradition antique'' ou les ''réductions de l'être". Dans les unes comme dans les autres, on sent un vent revigorant souffler.

(Alain de Benoist - Éléments)

Ceux d'en haut

Des Cévennes aux falaises du Haut-Languedoc, des Alpilles aux montagnes afghanes, on suivra des personnages en quête d'altitudes et d'ascensions qui, si elles célèbrent et s'inscrivent dans une forme d'action, concourent, prenant alors une valeur spirituelle, à quelque accomplissement, à quelque aventure intérieure. Dans la vastitude des paysages, chaque voie d'escalade frayée s'apprécie tel qu'un parcours initiatique où chacun se dépouillera des scories du quotidien, de ses fallacieuses apparences sans cesse fluctuantes, pour atteindre à une manière de contemplation austère et virile. Ces récits élaborent une critique de la modernité, fine, mais sans ménagement, et qui ne parasite ni n'alourdit l'intrigue, dont sont dénoncés les artifices et les grisailles toujours recommencés, les faux idéaux comme l'esprit d'inquisition qui s'y fait jour. Ceux d'en haut est aussi appréciable par la limpidité du style, d'un style sans gras aucun, qui sert le propos et la pensée, non moins limpides. Et, de même, on notera les nombreuses références aux auteurs classiques de l'antiquité : Héraclite, Horace, Ovide, auxquels Bruno Favrit s'entend par cœur.

(Arnaud Bordes - La Presse Littéraire)

Bruno Favrit est, en effet, homme d'altitude. Aux deux sens du terme : il aime monter vers les sommets et il appartient à la race de ceux qui n'apprécient rien tant que la hauteur de vue, le détachement à l'égard des soucis matérialistes, la quête d'une sérénité qui rime souvent avec solitude. Ses nouvelles nous entraînent du coup, dans un monde que nous aimons. On y rencontre des personnages toniques, respirant la Grande Santé.

(Pierre Vial - Terre & Peuple magazine)

Des nouvelles habitées par un souffle païen qui exaltent les montagnes et leurs légendes. Un amour ardent des pays du Sud, Alpilles, Haut-Languedoc, Cévennes, gardiens des mythes et des traditions.

(Pierre-Luc Moudenc - Rivarol)

Esprit du Monde

Dans ce musée imaginaire, Bruno Favrit ne cache pas que la source à laquelle il s'abreuve est classique, grecque et romaine : Héraclite, Platon, Sénèque inspirent davantage ce poète (au sens de créateur) que tant de contemporains qui, demain, auront sombré dans un juste oubli. Écoutons-le, ce Grec d'aujourdhui, qui chante le vin et l'amitié, l'effort et l'indocilité : « Jouir réclame une conception du monde, située dans le détachement de tout ce qui a pu nous être enseigné jusqu'ici, tout du moins depuis que le grand Pan a été déclaré mort. » Une Antiquité vivante, sans rien de scolaire, pour résister à « la culture du somnifère et de l'aplatissement ».

(Christopher Gérard - La Presse littéraire)

Ensemble de méditations sur des œuvres d'art européennes, que ce soit des tableaux ou des sculptures. D'un esprit très classique et qui en fin de compte évoque les différentes problématiques esthétiques, philosophiques qui parcourent tout notre identité européenne et notre vision du monde. C'est toujours avec un style très vivant, très clair ; c'est toujours un vrai plaisir de se plonger dans la prose de Bruno Favrit.

(Pascal Lassalle, Libre journal des lycéens, Radio Courtoisie)

Cet Esprit du monde, Bruno Favrit le décèle avec une finesse d'analyse qui dit combien il communie avec elles, dans des œuvres d'art dont la liste éclectique peut surprendre le profane mais séduit immédiatement linitié. Un fil dAriane subtil mais lumineux.

(Terre & Peuple magazine)

Critiques et recensions

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