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Fort à faire

(...) extrêmement agréable, revigorant, vivifiant (...) : la grande santé nietzschéenne en actes.

(Pascal Lassalle - Méridien Zéro)

Ode à l'amitié, au vin, à l'éloignement, Fort à faire est contemplation autant qu'exercice de vitalité.

(Arnaud Bordes - Réfléchir & Agir)

Le soleil d'or

Bruno Favrit nous avait habitués à ses récits de montagnes (Ceux d’en haut, Midi à la source), univers qu’il connaît bien pour manier le piolet aussi prestement que la plume. Avec, d’ailleurs, une même légèreté désinvolte, affrontant les parois comme les pages blanches avec le souci premier de s’accomplir soi-même et non de briller aux yeux des autres.

Mais la montagne n’est pas au coeur de ce nouveau récit. La jungle guyanaise et les terres humides de Patagonie lui volent la part belle. L’atmosphère n’est plus celle des sommets enneigés à l’air vif et sec, mais celle de l’humidité oppressante et des vents qui font perdre la raison.

Favrit partage avec Raspail une affection entêtée pour les habitants des marges. Ceux-là mêmes qui vivent aux limites du monde ou à la périphérie de leur temps. Quel recours reste-t-il aux assoiffés d’absolu, qui étouffent dans l’âcre fumée moderne, sinon celui de fuir vers les étendues sauvages où la noirceur humaine semble ab­sente ?

C’est l’une de ces fuites que nous conte Bruno Favrit au long d’un récit mené tambour battant. Roman apéritif, tonifiant pense-t-on à mi-parcours. Un roman qui, page après page, pousse à sangler son sac pour reprendre la route, l’exact opposé d’un livre de che­vet… Mais ne partez pas sans une solide ligne de vie, car les chemins glissants des plaines humides, les crevasses sombres, pourraient vous surp­rendre. Favrit s’offre une plongée sans complaisance dans les tréfonds humains, avec la cinglante franchise d’un Bernanos. Non pas des âmes idéalisées, mais des âmes pétries d’idéal, obsédées par la grandeur à laquelle elles aspirent et dont elles ne parviennent qu’à saisir des miettes, avant, qui sait, le grand plongeon.

(Pierre Saint-Servant, Présent)

Midi à la source

Les leitmotive de ces Carnets ? Un refus passionné de toute médiocrité, même cachée au plus profond de soi ; une quête permanente de l’art de s’élever sur les parois de calcaire comme sur celles d’une âme de glace et de feu.

(Christopher Gérard - salon-litteraire.com)

Les auteurs et les hauteurs abondent dans ces notes d’un solitaire que dégoûte la veulerie et la médiocrité d’un monde auquel il n’appartient presque plus (...) que vaut le théâtre de boulevard du «dernier homme» démocratique face à la scène sacrée sur laquelle se meut et se meurt le héros tragique ? Rien, précisément, ce rien du nihilisme triomphant dont les Carnets de Favrit sont l’alexipharmaque. «Neige éternelle et soleil invaincu» : que demander d’autre ? Ils forment en effet un excellent viatique auquel on associera sans hésiter cet éloge du «Grand Midi». En route !

(Rémi Soulié, Le Spectacle du Monde)

Copieux et passionnant.

(Pascal Eysseric, Eléments)

Sa philosophie, pour autant qu'il en ait une, est celle de la vitalité. (...) Allergiques au grand air, s'abstenir !

(Alain de Benoist, Eléments)

Toxiques et Codex

Un recueil de maximes, plus de 700, qui réveillera par à coups telle ou telle facette de votre intelligence.

(François-Xavier Rochette - Rivarol)

Reprenant le noble flambeau d’un La Rochefoucault ou d’un Cioran, Bruno Favrit arpente avec curiosité les trottoirs de notre modernité, et en retire des impressions justes et cruelles, mais qui incitent toujours à la réflexion et à l’action! Revigorant.

(Pierre Gillieth - Réfléchir & Agir)

L'exercice s'inscrit dans la fidélité à la tradition nietzschéenne de l'aphorisme, de préférence lucide et mordant à l'image des moralistes français Vauvenargues et La Rochefoucauld. Bruno Favrit se sort brillamment de cet exercice de style hautement philosophique qui oblige le lecteur à méditer - ruminer disait Nietzsche - chaque phrase pour mieux pénétrer la profondeur du message.

(Blog Nietzsche Académie)

Sites et revues

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